https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/issue/feedSociété des Neurosciences2024-05-31T11:59:38+00:00Yves TILLETyves.tillet@societe-neurosciences.frOpen Journal Systems<p>Revue de la Société des Neurosciences</p>https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/65Découverte et fonction de l’innervation viscérale chez Galien2024-05-31T07:03:58+00:00Armelle Debrudebru.armelle@gmail.com<p>Étudiant l’anatomie et la physiologie du système nerveux, le médecin Galien du IIe siècle ap. J.C. s'intéresse aussi aux fines ramifications nerveuses qu'il discerne à la surface des viscères, y compris le cœur. Loin d'être négligeables, elles serviraient, selon lui, à donner aux organes une sensation "obscure" de ce qui peut leur nuire, une conception qui ouvre la porte aux découvertes sur le système nerveux sympathique.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Armelle Debru 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/66Une nouvelle stratégie thérapeutique pour une restauration visuelle : la sonogénétique2024-05-31T07:09:54+00:00Fabrice Arcizetfabrice.arcizet@inserm.frGregory Gauvaingregory.gauvain@inserm.fr<p>Une récente étude décrit la preuve de concept d’une approche thérapeutique associant génétique et ultrasons pour restaurer la vision. Cette thérapie dite sonogénétique consiste à modifier génétiquement certains neurones de la rétine ou du cortex visuel afin de pouvoir les activer à distance par des ultrasons pour permettre une perception visuelle</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Fabrice Arcizet, Gregory Gauvain 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/67L’éthique dans les sciences de l’humain2024-05-31T07:19:47+00:00Jacques Pyjacques.py@univ-tlse2.fr<p>S’il faut remonter à la Grèce antique pour trouver les premiers théoriciens de l’éthique (Socrate, Platon), c’est à la sortie de la seconde guerre mondiale que l’éthique appliquée s’est développée avec un ancrage particulier dans le domaine de la recherche médicale.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Jacques Py 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/68Développement des interfaces sang-cerveau2024-05-31T08:12:32+00:00Jean-François Ghersi-EgeaJean-francois.ghersi-egea@inserm.frAmel Amaraamel.amara@ucl.ac.ukNathalie Straziellens.brain.i@gmail.com<p>Les interfaces sang-cerveau assurent une fonction importante de neuroprotection, tout en permettant l’approvisionnement du cerveau en nutriments, micronutriments et hormones. Elles participent également à la quiescence immunitaire du cerveau.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Jean-François Ghersi-Egea, Amel Amara, Nathalie Strazielle 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/69Altérations de la BHE dans un cerveau vieillissant2024-05-31T08:17:30+00:00Nicola MarchiNicola.Marchi@igf.cnrs.fr<p>Le vieillissement cérébral est directement lié aux détériorations de la BHE qui, à leur tour, permettent ou exacerbent des trajectoires neuro-physiopathologiques. Il n'est pas exagéré d'avancer l’hypothèse selon laquelle l’augmentation de la perméabilité de la BHE joue un rôle central dans le vieillissement cérébral pathologique.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Nicola Marchi 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/70BHE et accidents vasculaires cérébraux2024-05-31T08:33:22+00:00Vincent Berezowskivincent.berezowski@univ-lille.fr<p>Depuis qu’ils suscitent l’intérêt des cliniciens qui les étudient par IRM, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ischémiques représentent une manifestation claire de la fonction de BHE. Après avoir été privée de dioxygène et de nutriments par l’obstruction d’une artère cérébrale, les capillaires ischémiés de la BHE deviennent perméables au point de laisser entrer du plasma dans le cerveau et faire apparaître un œdème.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Vincent Berezowski 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/71Ouverture transitoire de la BHE par les ultrasons : un outil pour le traitement des lésions tau ?2024-05-31T08:38:21+00:00Benoît Delatourbenoit.delatour@upmc.frAlexandre Carpentieralexandre.carpentier@aphp.frAmandine Géraudieamandine.geraudie@icm-institute.org<p>La maladie d’Alzheimer (MA) est une pathologie neurodégénérative du sujet âgé restant aujourd’hui encore incurable. La MA est caractérisée au niveau neuropathologique par des lésions extracellulaires, les plaques séniles principalement constituées de peptides ß-amyloide (Aß), et des lésions intraneuronales, les dégénérescences neurofibrillaires formées par des agrégats cytoplasmiques de protéines tau hyperphosphorylées.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Benoît Delatour, Alexandre Carpentier, Amandine Géraudie 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/72BHE et métabolisme énergétique2024-05-31T08:42:13+00:00Bénédicte Dehouckbenedicte.dehouck@inserm.fr<p>La barrière hémato-encéphalique (BHE) a d’abord été étudiée pour ses propriétés de « barrière » ; à savoir une structure empêchant la diffusion passive (non régulée) des molécules sanguines dans le tissu nerveux pour garantir l’homéostasie cérébrale. Au fil du temps et des différentes études, la BHE est peu à peu apparue comme une « interface », mettant l’accent sur la régulation des<br>échanges entre le compartiment sanguin et cérébral.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Bénédicte Dehouck 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/73Rôle des barrières cérébrales dans la physiopathologie de la maladie d’Alzheimer2024-05-31T08:47:29+00:00Lidia Cabezalidia.cabeza_alvarez@univ-fcomte.frGuillaume Benhora-Chabeauxguillaume.benhora-chabeaux@univ-fcomte.frAdeline Etievantadeline.etievant@univ-fcomte.frFanchon Bourassetfanchon.bourasset@univ-fcomte.fr<p>Le cerveau est un organe vital dont le fonctionnement est complexe et fait intervenir un ensemble de cellules comprenant bien sûr les neurones mais aussi les cellules avoisinantes, en particulier les cellules gliales (astrocytes et microglie). Pour fonctionner, ces cellules ont besoin d’énergie, d’oxygène et d’une composition ionique finement régulée</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Lidia Cabeza, Guillaume Benhora-Chabeaux, Adeline Etievant, Fanchon Bourasset 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/74Imagerie de la BHE : au-delà du concept d’une simple barrière2024-05-31T08:51:41+00:00Audrey Chagnotaudrey.chagnot@ed.ac.ukAxel Montagneaxel.montagne@ed.ac.uk<p>Quand on évoque la barrière hémato-encéphalique, le nom de Paul Ehrlich revient systématiquement. En effet, ce médecin allemand est l’un des premiers qui, grâce à l’injection de nombreux traceurs, identifie fonctionnellement et fait l’hypothèse de cette nouvelle<br>barrière anatomo-fonctionnelle.</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Audrey Chagnot, Axel Montagne 2024https://www.neurosciences.asso.fr/lalettre/index.php/revue/article/view/75Modèles in vitro humains de barrière hémato- encéphalique : exemple de l’épilepsie2024-05-31T08:56:23+00:00Coraly Simoës da Gamacoraly.simoes-da-gama@inserm.frAmbre Pouvreauambrepouvreau@gmail.comMélanie Morin-Brureaumelanie.morin-brureau@sorbonne-universite.fr<p>La barrière hémato-encéphalique (BHE) est une barrière à la fois physique et métabolique séparant la circulation sanguine du système nerveux central (SNC). Celle-ci permet le maintien de l’homéostasie cérébrale en permettant l’entrée des nutriments essentiels au bon fonctionnement cérébral et en éliminant des déchets grâce à de nombreux transporteurs présents sur les cellules</p>2024-05-31T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Coraly Simoës da Gama, Ambre Pouvreau, Mélanie Morin-Brureau 2024